À trois tours du but, Rosberg n'a plus que deux secondes d'avance sur Webber et Alonso dépasse Räikkönen, en difficulté avec ses pneus usés, pour le gain de la troisième place ; peu après, Hamilton le passe à son tour[63],[64],[65]. Pérez change ses pneus au trente-huitième tour alors que Grosjean observe sa pénalité. Alors que Romain Grosjean occupe la tête de la course, Webber reprend la piste avec un tour de retard. Le Finlandais abandonne pour la première fois en 38 courses. Sebastian Vettel remporte la victoire et prend la tête du championnat. Si le Vénézuélien sort seul de sa voiture, la direction de course doit sortir le drapeau rouge pour permettre l'évacuation de la monoplace et le nettoyage de la piste jonchée de débris de fibre de carbone. Mark Webber est cinquième (166 points) et augmente légèrement son avance sur Rosberg (159 points). Alors que tous les pilotes tournent en pneus pour le sec, la pluie continue de tomber sur certains secteurs du circuit à un peu plus de quinze tours de l’arrivée. Vettel conserve la tête du championnat avec 157 points et devance toujours Alonso (123 points) et Räikkönen (116 points) ; suivent Hamilton (99 points), Webber (93 points) et Rosberg (84 points). La bagarre est tout aussi acharnée pour le gain de la quatrième place qui oppose Hamilton à Hülkenberg et Alonso qui a dépassé Pérez. À partir du Grand Prix de Belgique, elles rentrent définitivement dans le rang tandis que Vettel gagne la totalité des courses restant au programme, il établit un record de neuf victoires consécutives en une saison, égalant la série d'Alberto Ascari à cheval sur les championnats 1952 et 1953, et atteignant le nombre record de treize premières places en une année, comme Michael Schumacher en 2004. Les deux pilotes sont alors réprimandés par les commissaires de course de la FIA. Achetez en toute confiance et sécurité sur eBay! Hülkenberg, après une lutte contre Hamilton, ravitaille au trente-huitième tour ; deux tours plus tard, Grosjean, alors deuxième, s'arrête aux stands et chausse des pneus durs. Vettel, sous la menace directe des deux pilotes Mercedes, indique à son équipe qu'il trouve Webber trop lent devant lui alors que l'Australien tourne légèrement plus vite que lui. Il compte 15 secondes de retard sur son coéquipier Webber qui doit encore s'arrêter une dernière fois. Au vingt-sixième tour, Räikkönen mène devant Hamilton et Rosberg : les trois n'ont effectué qu'un seul changement de pneus ; suivent Alonso et Vettel qui ont changé leurs pneus par deux fois. Webber peut toutefois poursuivre sa course, désormais talonné par Alonso qui profite de l'incident pour réduire l'écart du son rival, tandis que Van der Garde est pénalisé[60],[61],[62]. Vettel conserve la tête du championnat avec 132 points et devance désormais Alonso (96 points) et Räikkönen (88 points) ; suivent Hamilton (77 points), Webber (69 points) et Rosberg (57 points). L'Espagnol met une grosse pression sur Hamilton, en difficulté avec le comportement de sa monoplace, qui parvient toutefois à sauver sa position[102],[103],[104]. Ferrari reconnaît s’être planté sur sa F1. Felipe Massa est soigné sur le bord de la piste (les médecins lui posent une minerve), tandis que les commissaires de piste dégagent sa monoplace, nettoient la piste et repositionnent les barrières de sécurité[57],[58],[59]. Vettel compte désormais 372 points et devance Fernando Alonso (227 points). Tout change au cœur de l'été lorsque Pirelli est sommé de retirer ses pneumatiques 2013, victimes de déchapages en série et doit remettre en circulation les gommes de la saison précédente. À partir de 2014, les monoplaces de Formule 1 roulent avec un moteur V6 turbocompressé hybride de 1 600 cm3 muni d'un double système de récupération de l'énergie. Hülkenberg, cinquième, semble déjà en difficulté pour tenir le rythme et ferme la porte dans tous les virages pour contenir Pérez et Alonso. Un contact dans le peloton pénalise Button, touché au niveau de son aileron avant et Ricciardo qui perd six places. Dans le cinquième tour, Sutil attaque Bottas, le touche légèrement et effectue un tête-à-queue en pleine piste au milieu du peloton, sans toucher personne. Räikkönen préserve sa deuxième place après une belle résistance face à Sebastian Vettel, troisième ; suivent pour les points Webber, Alonso, Grosjean (pénalisé de 20 secondes pour son dépassement sur Button), Button, Massa, Pérez et Maldonado qui obtient son premier point de l'année[69],[70],[71]. Au tour suivant, Räikkönen a augmenté son avantage à 6 secondes sur Alonso quand Sutil rentre changer ses pneus durs contre des tendres. Profitant de la neutralisation partielle de la course, le drapeau jaune étant déployé pour permettre aux commissaires de piste d'évacuer la monoplace de Bottas, Vettel et Webber se ruent dans les stands ; les mécaniciens, qui disposent des pneus de Webber, ne sont pas prêts à recevoir Vettel qui perd de précieuses secondes. Fernando Alonso remporte ainsi son Grand Prix national devant Kimi Räikkönen, Felipe Massa complétant le podium ; suivent pour les points Vettel, Webber, Rosberg, di Resta, Button, Pérez et Ricciardo[53],[54],[55]. Webber et Vettel font de même aux vingt-neuvième et trentième passages. Räikkönen, depuis plusieurs tours à l'attaque sur Pérez, trouve l'ouverture dans le quinzième tour. À l'extinction des feux, Sebastian Vettel s'engouffre en tête dans le premier virage alors qu'à l'arrière plusieurs accrochages se produisent. Webber occupe la onzième position car il a dû s'arrêter, victime d'une crevaison lente[84],[85],[86]. Rosberg, se porte à la hauteur de Vettel mais, en survitesse, tire large dans le premier virage et laisse filer son adversaire. Räikkönen chute au quatrième rang avec 134 points ; suivent Webber (115 points) et Rosberg (96 points). Au dix-neuvième passage, Alonso passe son coéquipier Massa et menace Hülkenberg. À seize tours du but, Romain Grosjean harponne Daniel Ricciardo à la sortie du tunnel : la voiture de sécurité entre à nouveau en piste. Livraison et expédition. Hülkenberg et Pérez lancent la deuxième salve d'arrêts au stand au vingt-huitième tour. 56,52 EUR. Au premier passage sur la ligne, Vettel précède Massa, Fernando Alonso, Hamilton, Kimi Räikkönen, Nico Rosberg, Mark Webber, Paul di Resta, Jenson Button, Adrian Sutil et Romain Grosjean[41],[42],[43]. Rosberg et Pérez changent leurs pneus au vingtième tour, Webber et Button au suivant, Hamilton et Bianchi au vingt-deuxième, Alonso au vingt-quatrième, Vettel et Ricciardo au vingt-cinquième, Hülkenberg au suivant et Grosjean au vingt-septième. Fernando Alonso, tapi dans l'aileron arrière de Grosjean, tente l'extérieur dans le virage no 3 mais le pilote Lotus conserve son bien. Giedo Van der Garde change ses pneus dans le dix-neuvième tour, Grosjean au suivant, Button au vingt-et-unième, Ricciardo, Pérez et Jules Bianchi au vingt-deuxième, Vettel et Webber au vingt-troisième. Räikkönen change le premier ses pneus dès le onzième tour. Au vingt-neuvième tour, Grosjean, sixième, réalise le meilleur tour en course et dépasse Massa par l'extérieur en mettant deux roues dans l'herbe. Au championnat du monde des constructeurs, Red Bull Racing possède 78 points et devance Ferrari (73 points) et Lotus F1 Team (60 points) ; suivent Mercedes (52 points), McLaren (14 points), Force India (14 points), Toro Rosso (7 points) et Sauber (5 points). Sutil est pénalisé par un drive-through pour ne pas avoir respecté assez rapidement les drapeaux bleus lui intimant de s'écarter alors qu'il se trouvait devant Hamilton et Alonso en plein duel. Le premier bénéficiaire de la Ferrari Driver Academy est le Français Jules Bianchi, qui entre dans la discipline reine du sport automobile en 2013 chez Marussia [127]. En tête de course, Vettel possède désormais une avance confortable sur ses rivaux et se dirige vers sa deuxième victoire de la saison : Grosjean et Räikkönen suivent à trente secondes à 15 tours de l'arrivée et devancent di Resta, Webber, Button, Rosberg, Hamilton, Pérez et Alonso. Ferrari. Au trente-troisième passage, derrière la voiture de sécurité, Vettel précède Grosjean, Räikkönen, Hamilton, Hülkenberg, Alonso, Button, Rosberg, Maldonado, Ricciardo, Webber, Sutil, Gutiérrez, Massa, Pérez, Vergne, Bottas, Pic, Bianchi, Van der Garde et Chilton. Fernando Alonso sur la Ferrari F138 à Sepang, Résultats en championnat du monde de Formule 1, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Ferrari_F138&oldid=180999960, Catégorie Commons avec lien local identique sur Wikidata, Portail:Époque contemporaine/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, semi-automatique séquentielle électronique, Disques autoventilés en fibre de carbone et étriers. Aux côtés des voitures rouges mythiques comme la 575 GTZ, la 348 TS ou la F50, vous trouvez des modèles de couleur jaune, blanc ou gris plus rares. Lors de la relance, à la fin du trente-sixième tour, Sutil part en tête-à-queue et percute légèrement Webber qui prend alors l'échappatoire où sa monoplace prend subitement feu. Nico Rosberg remporte la course sur le fil, devant Webber et Alonso ; suivent pour les points Hamilton, Räikkönen, Massa, Sutil, Ricciardo, di Resta et Hülkenberg. Pérez porte une nouvelle attaque sur Alonso qui doit couper la chicane pour défendre sa position et éviter un éventuel accrochage. Mark Webber termine le championnat troisième avec 199 points, juste devant Lewis Hamilton (189 points). Les entrées d'air derrière le cockpit et sur les flancs de la monoplace ont aussi été modifiées, tout comme les pontons, afin d'améliorer l'aérodynamisme de la voiture[1],[2]. À l'extinction des feux, Sebastian Vettel, en pole position, s'engouffre en tête dans le premier virage et devance Felipe Massa, Lewis Hamilton et Fernando Alonso. Il effectue alors son unique arrêt pour chausser des pneus durs avec lesquels il finira la course. »[109],[110] Les deux Français, dont c'est la troisième réprimande depuis le début de l'année, sont donc pénalisés d'un recul de dix places sur la grille de départ du Grand Prix du Japon[88],[89],[90]. Raïkkönen, en abandonnant dès les premiers hectomètres de la course, reste troisième avec 183 points, voit diminuer ses chances de ravir à Alonso la deuxième place du championnat, et Lewis Hamilton se rapprocher à huit points (175 points). Vettel change ses pneus dès le troisième tour mais Alonso ne profite pas de l'avantage conféré par ses pneus durs car il s'arrête également pour changer son aileron avant abîmé après son contact avec Webber. Hamilton ressort des stands juste derrière Webber et, à l'issue d'une passe d'armes engagée, le dépasse autoritairement, forçant Webber à sortir de la piste pour laisser suffisamment d'espace et éviter un accrochage[69],[70],[71]. Le 21 octobre 2007, il y a 13 ans jour pour jour, Kimi Räikkönen réalisait un exploit. Je vous aime les gars. Au même moment, Adrian Sutil abandonne dans son stand à cause d'un problème hydraulique[69],[70],[71]. Au championnat du monde des constructeurs, Red Bull Racing possède 445 points et devance Ferrari (297 points) et Mercedes (287 points) ; suivent Lotus F1 Team (264 points), McLaren (83 points), Force India (62 points), Sauber (45 points) qui passe devant Toro Rosso (31 points), et Williams (1 point). Les six premiers pilotes sur la grille s'élancent en pneus tendres ; Felipe Massa, Fernando Alonso, Jenson Button, Nico Hülkenberg, Nico Rosberg, Valtteri Bottas et Pastor Maldonado partent en pneus durs. Romain Grosjean rentre également et reprend la piste à la sixième place. Plus loin, Sergio Pérez revient sur son coéquipier Jenson Button, huitième mais reste dans son sillage jusqu'à l'arrivée. Webber s'arrête à dix tours du but pour chausser ses gommes tendres et ressort quatrième, derrière son coéquipier Vettel qui attaque Räikkönen[69],[70],[71]. Derrière, Fernando Alonso double plusieurs concurrents par l'extérieur et gagne quatre positions pour pointer au troisième rang. Au trente-deuxième passage, derrière la voiture de sécurité, Rosberg devance ainsi Vettel, Webber, Hamilton, Räikkönen, Alonso, Button, Pérez, Sutil, Vergne, di Resta, Hülkenberg, Ricciardo, Grosjean, Bottas, Max Chilton, Gutiérrez, Maldonado, Jules Bianchi et Giedo Van der Garde. Trouvez les Fischer Ferrari images et les photos d’actualités parfaites sur Getty Images. The car was named the "F138" to r… Au dix-huitième passage, Webber compte 2 secondes d'avance sur Vettel, 5 s sur Hamilton, 7 s sur Rosberg et 17 s sur Button ; suivent Hülkenberg, Massa, Grosjean, Räikkönen et Pérez[44],[45],[46]. Minichamps 510966491# Ferrari 1996#17 F1 Michael Schumacher "1:64 Formel 1. Kimi Räikkönen, en stratégie décalée depuis sa mésaventure du départ, change ses pneus au trentième tour et tente le pari d'aller au bout de l'épreuve avec son nouveau train de pneus tendres quand ses adversaires en pneus durs tentent pour leur part de rejoindre le drapeau à damier sans repasser par leur stand. Button s'arrête une deuxième fois au vingt-quatrième au tour ; Rosberg, Webber, di Resta, Bottas, Sutil, Massa, Maldonado, Grosjean, Hülkenberg, Max Chilton, Alonso, Gutiérrez, Pérez et Raikkonen entre le vingt-cinquième et le trente-et unième tour. L'Allemand met la pression sur Button et les deux monoplaces se touchent légèrement : la Red Bull subit quelques dommages au niveau de son aileron avant et Vettel laisse filer Button pour résister à Grosjean qui l'attaque de toutes parts. La roue avant droite de Button ayant été mal fixée, le pilote doit s'arrêter dans la voie des stands et être poussé vers son stand par ses mécaniciens afin de procéder à la fixation correcte de la roue et perd plus de deux minutes[44],[45],[46]. Au deuxième passage, Vettel devance son coéquipier Mark Webber, Lewis Hamilton, Jenson Button, Nico Rosberg, Felipe Massa, Sergio Pérez, Adrian Sutil, Nico Hülkenberg, Daniel Ricciardo, Kimi Räikkönen et Romain Grosjean. À trois tours du but, Ricciardo abandonne alors qu'il était neuvième (son coéquipier Vergne fait de même au tour suivant). Sutil effectue son unique arrêt dans le quarante-deuxième tour et reprend la piste neuvième. Mark Webber, pour sa dernière course dans la discipline, prend la deuxième place devant Fernando Alonso ; suivent pour les points Button, Rosberg, Pérez, Massa, Hulkenberg, Hamilton et Ricciardo[106],[107],[108]. Auteur du meilleur tour au vingt-troisième passage, Webber se rapproche de plus en plus de Grosjean et, au tour suivant, peut utiliser son aileron arrière mobile puisqu'il n'est plus qu'à huit dixièmes de seconde[91],[92],[93]. Toutefois, Alonso repasse son rival dans le cinquième tour. À l'extinction des feux, Sebastian Vettel s'élance difficilement mais parvient à contenir Felipe Massa auteur d'un excellent envol, Mark Webber et Fernando Alonso. Au quatrième passage, Rosberg précède Hamilton d'une seconde, Vettel d'une seconde et demie, Webber de 2 s, Räikkönen de 3 s et Alonso de 4 s ; suivent Pérez, Button, Sutil et Vergne. Quoi de pire que de commencer la saison en étant conscient du manque de performance de sa F1 ? »[102],[103],[104],[105]. 742 likes. Lewis Hamilton, avec 169 points augmente son avance sur Webber, bloqué à 148 points et qui voit se rapprocher Rosberg (144 points). L'Australien stoppe deux boucles plus tard pour chausser des pneus tendres frais et ressort troisième derrière Vettel désormais en tête de la course et Grosjean[91],[92],[93]. Alonso, désormais en tête, rentre au tour suivant, imité par Räikkönen ; Massa et Grosjean rentrent au septième tour. Voir plus d'idées sur le thème formule 1, ferrari, formule1. Le Brésilien écope alors d'un drive-through pour avoir coupé la ligne d'entrée dans la voie des stands et ne reprend la piste qu'en huitième position. Si les Red Bull Racing ne doivent plus s'arrêter jusqu'à l’arrivée, le reste du classement risque d'évoluer en fonction des diverses stratégies de pneumatiques. Quelques hectomètres plus loin, Paul di Resta bloque ses pneus, percute Romain Grosjean et arrache son train avant-gauche, ce qui provoque son abandon immédiat. Pour la quatrième fois consécutive depuis 2010, les titres mondiaux des pilotes et des constructeurs sont attribués à Sebastian Vettel et à son écurie Red Bull-Renault. Lewis Hamilton abandonne dans le huitième tour à cause de dommages trop importants sur son fond plat causés par son accrochage du départ. Évolution de la Ferrari F2012 de la saison précédente, la F138 conserve des éléments de sa devancière, comme le système de suspensions à tirants avant et arrière, qui a été optimisé pour améliorer l'efficacité aérodynamique, notamment à l'arrière de la monoplace. Sebastian Vettel remporte sa douzième victoire de la saison, sa huitième consécutive depuis le Grand Prix de Belgique, ce qui constitue un nouveau record. Formula One Grand Prix Singapore 2013 - Ferrari 2.jpg 4,537 × 2,869; 5.83 MB Formula One Grand Prix Singapore 2013 - Ferrari 3.jpg 4,606 × 2,858; 5 MB Londres - Ferrari ( 27-04--2013 Exhibition in Mayfair ).jpg 1,792 × 1,504; 2.57 MB Hamilton, Alonso et Charles Pic stoppent au dixième tour ; Grosjean, Rosberg, Hülkenberg et Jules Bianchi au suivant. En raison du couvre-feu plus étendu, les transgressions sont réduites à deux. Formule 1 : Cette grosse révélation de Ferrari sur son avenir ! En tête de course, Sebastian Vettel gère son avantage de huit secondes sur Fernando Alonso en attendant une averse annoncée, qui n'aura pas lieu. Une consigne d'écurie intime aux pilotes de conserver leurs positions afin d'assurer un doublé. Tous les pilotes du haut du classement sont chaussés de pneus tendres sauf Lewis Hamilton, Kimi Räikkönen et Esteban Gutiérrez, en pneus durs. À l'extinction des feux, Sebastian Vettel, en pole position, conserve le commandement tandis que son coéquipier Mark Webber chute à la quatrième place après quelques hectomètres en se montrant trop prudent au premier freinage : Romain Grosjean, troisième sur la grille, prend immédiatement le meilleur sur lui au premier virage puis l'Australien est dépassé par Lewis Hamilton dans la foulée[102],[103],[104]. Di resta abandonne et Maldonado rejoint son stand pour faire réparer sa voiture avant d'être pénalisé d'un stop-and-go de dix secondes. Mercedes a pris la décision de faire cesser le calvaire d'Hamilton en le faisant passer par les stands une seconde fois pour un dernier train de pneus. Au septième tour, Alonso est rappelé d'urgence à son stand car son aileron arrière mobile reste bloqué en position ouverte et il risque donc d'être arrêté sur drapeau noir et disqualifié. À l'extinction des feux, Lewis Hamilton, en pole position, prend un envol parfait devant Sebastian Vettel et Nico Rosberg ; Alonso gagne quatre positions quand Webber, troisième au départ, n'est plus que sixième. Au championnat du monde des constructeurs, Red Bull Racing possède 219 points et devance désormais Mercedes (171 points) et Ferrari (168 points) ; suivent Lotus F1 Team (124 points), Force India (59 points), McLaren (37 points), Toro Rosso (24 points) et Sauber (6 points). Même si Sebastian Vettel prend la tête du championnat dès la deuxième manche, en Malaisie où il outrepasse les … Sebastian Vettel, en pole position, s'engouffre en tête dans le premier virage puis effectue un freinage appuyé : Fernando Alonso, second percute légèrement l'arrière de la Red Bull RB9 de Vettel et abîme son aileron avant qui frotte le sol. Räikkönen reste quatrième avec 134 points ; suivent Webber (130 points) et Rosberg (104 points). Webber prend l'avantage sur Rosberg, désormais quatrième. Webber est désormais en tête devant Vettel, Pérez, Ricciardo, Sutil, Massa, Rosberg, Hamilton, Bottas et Hülkenberg ; Alonso n'est que quatorzième. Rosberg, mal relâché par son équipe manque d'accrocher Pérez et écope d'un drive-though. 31 mai 2019 - Découvrez le tableau "Ferrari 2010's" de Dominique Buzon sur Pinterest. Rosberg ressort douzième quand Alonso, Sutil et Valtteri Bottas s'arrêtent, au vingt-neuvième tour. Romain Grosjean, pénalisé d'un recul de dix places, choisit de ne pas s'élancer depuis les stands et prend place sur le dernier emplacement de la grille[60],[61],[62]. Webber réalise le meilleur tour en course au vingt-septième passage et Vettel riposte dès le tour suivant alors que la bataille entre Hamilton et Massa fait rage pour la quatrième place. Au championnat du monde des constructeurs, Red Bull Racing possède 109 points et devance Lotus F1 Team (93 points) et Ferrari (77 points) ; suivent Mercedes (64 points), Force India (26 points), McLaren (23 points), Toro Rosso (7 points) et Sauber (5 points). Au premier passage sur la ligne de chronométrage, Hamilton devance Vettel, Rosberg, Adrian Sutil, Massa, Kimi Räikkönen, Daniel Ricciardo, Grosjean, Fernando Alonso, Jenson Button, Sergio Pérez et Nico Hülkenberg[63],[64],[65]. Vettel, à l'aspiration derrière Rosberg, reprend l'avantage juste avant la ligne de chronométrage alors que Fernando Alonso fait la même chose aux dépens d'Hamilton à la faveur d'une vitesse plus importante en ligne droite, Mercedes ayant privilégié les appuis aérodynamiques en configuration pluie[106],[107],[108]. Rosberg et Hülkenberg prennent des derniers points en jeu[66],[67],[68]. Les vingt-deux pilotes s'alignent sur la grille de départ en pneus tendres, sauf Daniel Ricciardo qui a choisi d'effectuer son premier relais en pneus durs. Elle est pilotée par l'Espagnol Fernando Alonso, présent au sein de l'écurie italienne depuis la saison 2010, et le Brésilien Felipe Massa, qui effectue sa huitième saison consécutive chez Ferrari. Jenson Button se plaint que son coéquipier Pérez ferme la porte chaque fois qu'il se porte à sa hauteur : les deux pilotes ont failli s'accrocher à deux reprises dans les premiers tours de course. Au championnat du monde des constructeurs, Red Bull Racing possède 312 points et devance Mercedes (235 points) et Ferrari (218 points) ; suivent Lotus F1 Team (187 points), McLaren (65 points) qui est repassé devant Force India (61 points), Toro Rosso (25 points), Sauber (7 points) et Williams (1 point). Hamilton rentre immédiatement changer ses pneus. Derrière la voiture de sécurité, Vettel précède Grosjean, Hamilton, Webber, Nico Hülkenberg, Sergio Pérez, Fernando Alonso, Valtteri Bottas, Paul di Resta, Daniel Ricciardo, Nico Rosberg, Heikki Kovalainen, Felipe Massa et Jenson Button. Les Red Bull sont en première ligne, Mark Webber devançant Sebastian Vettel. Vettel conserve la tête du championnat avec 172 points et devance désormais Alonso (151 points) et Hamilton (139 points). Vettel conserve la tête du championnat avec 247 points et devance Alonso (187 points) et Hamilton (151 points). Europas größte Ferrari und Formel 1 Gaststätte Europas größte Ferrari und Formel 1 Gaststätte Jump to Vettel devance ainsi son coéquipier Webber de dix secondes ; suivent Alonso, Massa, Hamilton, Button, Rosberg, Pérez, Hülkenberg, Ricciardo, Sutil, di Resta, Kovalainen, Bottas et Gutiérrez[106],[107],[108]. Valtteri Bottas et Max Chilton changent leurs pneus au sixième tour, Vettel et Giedo Van der Garde au septième, Massa, di Resta et Charles Pic au suivant, Alonso, Räikkönen, Jean-Éric Vergne et Jules Bianchi au neuvième, Pastor Maldonado au dixième, Hamilton au treizième, Rosberg au suivant, Daniel Ricciardo au quinzième et Sergio Pérez au suivant. Vettel stoppe au dix-huitième tour et, grâce à l'avance accumulée, ressort en tête[78],[79],[80]. Le départ du Grand Prix de Belgique est donné sur une piste sèche. Si la bagarre fait rage à tous les niveaux du peloton, Sebastian Vettel poursuit sa course en solitaire. Jugé responsable de l'accrochage, le Britannique est pénalisé d'un drive-through et, à son issue, Mercedes ne dispose plus que de 5 points d'avance sur Ferrari au championnat constructeurs[106],[107],[108]. Toutes les monoplaces encore en lice se rangent pour un nouveau départ alors qu'il reste vingt-deux tours à boucler[57],[58],[59]. Hülkenberg change ses pneus au vingt-cinquième tour, Räikkönen au vingt-neuvième, Alonso et Grosjean au tour suivant, Webber au trente-et-unième ; Ricciardo, Button, Sutil, Pérez, di Resta, Rosberg, Vettel, Hamilton et Massa passent tous au stand avant le trente-cinquième tour ; Vergne abandonne, sa monoplace ayant trop souffert dans l'explosion de son pneu[63],[64],[65]. Le trio de tête bute alors sur un 4x4 d'intervention entré en piste pour procéder à l'extinction de l'incendie de la Red Bull alors que la voiture de sécurité n'est pas encore en piste. It was driven by two time World Champion Fernando Alonso and his teammate Felipe Massa in his final season at the Scuderia. À la fin du premier tour, Vettel devance son coéquipier Mark Webber, Hamilton, Kimi Räikkönen, Romain Grosjean, Massa, Daniel Ricciardo, Alonso, Button, Sergio Pérez, Hülkenberg et Rosberg. Nico Rosberg s'élance parfaitement et semble en mesure de porter une attaque sur Vettel et Grosjean. Hamilton ressort des stands derrière Grosjean et perd un temps important. L'Allemand réalise le troisième grand chelem de sa carrière, cumulant lors de la même épreuve la pole position, le meilleur tour en course et la victoire en ayant mené de bout en bout. La Ferrari F138 est la monoplace de Formule 1 engagée par la Scuderia Ferrari dans le cadre du championnat du monde de Formule 1 2013. De retour en piste, l'ailette mobile s'ouvre à nouveau et l'Espagnol est obligé de faire un nouveau passage par son stand où les mécaniciens bloquent définitivement l'ailette : Alonso ne pourra plus utiliser son DRS pendant le reste de l'épreuve[50],[51],[52]. Au vingt-septième passage Alonso devance Massa, Vettel, Räikkönen, Rosberg qui rentre changer ses pneus, Webber, Gutiérrez, di Resta, Button, Hülkenberg et Pérez[53],[54],[55]. Alonso et Webber ressortent des stands juste derrière Grosjean et Hamilton. Sebastian Vettel remporte sa quatrième victoire consécutive et devance les deux pilotes Lotus, Räikkönen et Grosjean ; suivent pour les points Hülkenberg, Hamilton, Alonso, Rosberg, Button, Massa et Pérez[84],[85],[86].